dimanche 26 avril 2020, cl. Luis CERCOS, 75 011 Paris
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domingo, 26 de abril de 2020
sábado, 18 de abril de 2020
jueves, 16 de abril de 2020
lunes, 13 de abril de 2020
domingo, 12 de abril de 2020
sábado, 11 de abril de 2020
viernes, 10 de abril de 2020
miércoles, 8 de abril de 2020
Jean-Paul Philippon, architecte
Quels conseils donneriez-vous à un jeune étudiant en architecture ?
– ne jamais cesser de dessiner à la main et d’écrire ;
– être toujours plus curieux et affûter son regard sur toutes choses ;
– essayer de comprendre quelle est l’essence de la beauté ;
– découvrir les bonnes proportions ;
– essayer de comprendre pourquoi il y a des lieux où l’on se sent bien ;
– toujours douter des solutions trop faciles ;
– avoir confiance en soi-même et se méfier autant des solutions stéréotypées (des entreprises, des clients, des autres) que des normes… mais savoir les écouter avec humilité ;
– développer sa sensibilité tout en gardant un jugement critique et rationnel ;
– être soi-même et ne pas se laisser envahir par l’esprit du temps et la culture de l’émotion ;
– considérer l’actualité de toutes les architectures du passé ;
– être inventif avec l’existant ;
– se méfier du formalisme ;
– se forger une éthique solide et sur chaque projet une règle du jeu adaptée au contexte ;
– considérer avec autant de soin la syntaxe que le vocabulaire ;
– user subtilement de l’harmonie et du contraste ;
– considérer les liens de solidarité entre les architectures dans la ville ; entre les parties dans le tout
– respecter les traces du passé et travailler pour l’avenir durable et pérenne de toute chose construite ;
– et ayant gagné en expertise, toujours revendiquer un rôle de conseil, d’anticipateur de problèmes, voire de lanceur d’alerte, auprès des citoyens et de leurs représentants.
– être toujours plus curieux et affûter son regard sur toutes choses ;
– essayer de comprendre quelle est l’essence de la beauté ;
– découvrir les bonnes proportions ;
– essayer de comprendre pourquoi il y a des lieux où l’on se sent bien ;
– toujours douter des solutions trop faciles ;
– avoir confiance en soi-même et se méfier autant des solutions stéréotypées (des entreprises, des clients, des autres) que des normes… mais savoir les écouter avec humilité ;
– développer sa sensibilité tout en gardant un jugement critique et rationnel ;
– être soi-même et ne pas se laisser envahir par l’esprit du temps et la culture de l’émotion ;
– considérer l’actualité de toutes les architectures du passé ;
– être inventif avec l’existant ;
– se méfier du formalisme ;
– se forger une éthique solide et sur chaque projet une règle du jeu adaptée au contexte ;
– considérer avec autant de soin la syntaxe que le vocabulaire ;
– user subtilement de l’harmonie et du contraste ;
– considérer les liens de solidarité entre les architectures dans la ville ; entre les parties dans le tout
– respecter les traces du passé et travailler pour l’avenir durable et pérenne de toute chose construite ;
– et ayant gagné en expertise, toujours revendiquer un rôle de conseil, d’anticipateur de problèmes, voire de lanceur d’alerte, auprès des citoyens et de leurs représentants.
Source: https://www.paris-belleville.archi.fr/actualites/50eme-anniversaire/10-ans-au-60-bd-de-la-villette/