En la séptima planta, en las mesas que hay junto a la sección 72 (Arquitectura) de la magnífica biblioteca del Centro George Pompidou y gracias al acceso libre a internet, puedo hoy comentar con vosotros el título de un libro que acabo de descubrir: l’Architecte, le Prince et la Démocratie (Michel Ragon, éditions Albin Michel, Paris, 1977).
Critique et historien de l’art, de l’architecture et de l’urbanisme, notamment auteur de L’Homme et les villes, Michel Ragon établit ici le dossier complet du conflit entre architectes et usagers, c’est-à-dire entre ceux qui Font l’architecture et ceux qui la subissent.
Un libro en el que se hablaba ya, 34 años atrás, de la necesidad de cambiar las técnicas de construir, las maneras de habitar, la movilidad de las personas, la evolución de la sociedad.
Una obra que se inscribe más dentro del pensamiento político y social que en la historia de la arquitectura y del urbanismo.
Y todo ello, a continuación de un inicio portentoso: vers une démocratisation de l’architecture?
L’architecture est toujours le domaine reserve du prince. Si tous les citoyens sont requis pour désigner lequel des candidats à la présidence de la République est le milleur, s’ils son requis pour décider si oui ou non leur pays doit entrer dans le Marché commun, si la régionalisation doit succéder à la centralisation, bref pour un grand nombre de problèmes extrêmement délicats, qui demandent des connaissances politiques, économiques et sociales considérables, on voit mal pourquoi les habitants d’une ville, d’un quartier, d’un immeuble, ne seraient pas consultés pour les plans d’architecture et d’urbanisme qui font partie de leur quotidienneté immediate.
Ahí queda la pregunta.
http://www.lc-architects.com/
Critique et historien de l’art, de l’architecture et de l’urbanisme, notamment auteur de L’Homme et les villes, Michel Ragon établit ici le dossier complet du conflit entre architectes et usagers, c’est-à-dire entre ceux qui Font l’architecture et ceux qui la subissent.
Un libro en el que se hablaba ya, 34 años atrás, de la necesidad de cambiar las técnicas de construir, las maneras de habitar, la movilidad de las personas, la evolución de la sociedad.
Una obra que se inscribe más dentro del pensamiento político y social que en la historia de la arquitectura y del urbanismo.
Y todo ello, a continuación de un inicio portentoso: vers une démocratisation de l’architecture?
L’architecture est toujours le domaine reserve du prince. Si tous les citoyens sont requis pour désigner lequel des candidats à la présidence de la République est le milleur, s’ils son requis pour décider si oui ou non leur pays doit entrer dans le Marché commun, si la régionalisation doit succéder à la centralisation, bref pour un grand nombre de problèmes extrêmement délicats, qui demandent des connaissances politiques, économiques et sociales considérables, on voit mal pourquoi les habitants d’une ville, d’un quartier, d’un immeuble, ne seraient pas consultés pour les plans d’architecture et d’urbanisme qui font partie de leur quotidienneté immediate.
Ahí queda la pregunta.
http://www.lc-architects.com/
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