Junto a la mesa de lectura donde me he puesto hoy había un libro descartado y medio abandonado que llamaba húmildemente mi atención. No he podido evitar hojear (pasar rápidamente las hojas de un libro o de un cuaderno), Maisons d’exception (París, 1944). En la última de las casas me he detenido más de una hora, Villa Malaparte.
La maison de l’écrivain Curzio Malaparte est une oeuvre énigmatique et fascinante. Cette villa est installée au sommet d’un éperon rocheux qui tombe à pic sur les eaux transparentes, non loin de Naples et de Pompéi, de l’île de Capri.
La casa Malaparte estuvo durante muchos años atribuida al arquitecto italiano Adalberto Libera (1903-1963), pero hoy se sabe que gran parte de su aspecto final se debe a su propio dueño, Curzio Malaparte. El diseño inicial fue rechazado por el escritor por considerarlo excesivamente racionalista y lineal. Al inicio de las obras, promotor y arquitecto discutieron y finalmente fue el propio Curzio quien con ayuda de albañiles locales dirigió y culminó el proyecto.
C’est en Javier 1938 que Malaparte achète une vaste étendue de terre d’où émerge un éperon rocheaux en avancée sur la mer. Sur les conseils d’Orfeo Tamburi, alors directeur artistique du magazine de Malaparte, Prospettive, il prend contact avec le jeune architecte romain Adalberto Libera. Malaparte lui adresse quelques photographies et c’est sans avoir visité le site ni relevé la topographie que Libera va élaborer le projet d’une ville moderne comme celles qu’il conçoit à Ostie. Il dessine un grand rectangle allongé dans lequel il installe les chambres, puis sur ce socle rustique il pose le séjour surmonté d’une succession de voûtes et une terrasse ouverte au même niveau.
Les relations diplomatiques de Malaparte à Roma vont lui permettre d’obtenir son permis de construire, alors que les travaux ont déjà commencé sur un terrain strictement inconstructible. La construction de la villa dura trois années, car il fallut transporter la totalité des matériaux par mer et les faire venir de Naples, ce qui coûta très cher à l’écrivain.
Malaparte supprime la terrasse du premier étage pour la transporter au sommet de la maison et conserver le socle des chambres et espaces de service. Le projet Malaparte installe la grande pièce de séjour sous l’escalier monumental et seul le bureau de l’écrivain reste à la proue. L’adjonction du grand escalier monumental es bien l’œuvre de Malaparte, cette invention ne figurant sur aucun dessin de Libera.
La poesía, quizá .
En 1963 Godard rueda en Villa Malaparte parte de su película Le Mépris, con Brigitte Bardot y Michelle Piccoli.