viernes, 28 de febrero de 2020

San Cosme y San Damián, Madrid, 1998


Restauración de los mosaicos del interior de la iglesia de San Cosme y San Damián, Madrid. Proyecto y DF: Luis Cercós, 1998.

viernes, 14 de febrero de 2020

Liberté, 1942


Liberté est un poème que l'auteur français Paul Éluard a écrit en 1942 pendant la Seconde Guerre mondiale, comme une ode à la liberté face à l'occupation allemande :

« Je pensais révéler pour conclure le nom de la femme que j’aimais, à qui ce poème était destiné. Mais je me suis vite aperçu que le seul mot que j’avais en tête était le mot Liberté. Ainsi, la femme que j’aimais incarnait un désir plus grand qu’elle. Je la confondais avec mon aspiration la plus sublime, et ce mot Liberté n’était lui-même dans tout mon poème que pour éterniser une très simple volonté, très quotidienne, très appliquée, celle de se libérer de l’Occupant »

À la Libération, il est fêté avec Louis Aragon comme le grand poète de la Résistance.

domingo, 9 de febrero de 2020

Trésor Humain Vivant


Trésor humain vivant : les "trésors humains vivants" sont des personnes qui possèdent à un haut niveau les connaissances et les savoir-faire pour interpréter des éléments spécifiques du "Patrimoine Culturel Immatériel de l'Humanité". Ces personnes sont désignées par leur pays et reconnues par l'UNESCO jusqu'au jour de sa mort. Ce type de distinction a commencé au Japon dans les années 1950, puis dans d'autres pays. En France, ils s'appellent "maîtres d'art". Maître d'art est un titre qu'est décerné à vie par le Ministère de la Culture à des professionnels des métiers d'arts qui possèdent un savoir-faire rare et souhaitent transmettre leurs connaissances. Depuis 1994, la France a des 132 Maîtres d'Art dans 95 spécialités différentes. 80 d'entre eux sont encore en activité aujourd'hui.

Photographie : Kunihiko Moriguchi, peintre de kimonos et Trésor National Vivant du Japon.

sábado, 8 de febrero de 2020

miércoles, 5 de febrero de 2020

George Steiner, 1929-2020


“Quienes se sumergen a grandes profundidades cuentan que, llegados a cierto punto, el cerebro humano se ve poseído por la ilusión de que es de nuevo posible la respiración natural. Cuando esto ocurre, el buzo se quita la escafandra y se ahoga”. 

Fragmento de "Presencias reales", George Steiner, 1991.